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TOSCANE & VENISE du 24 avril au 10 mai 2008
Voyage du 24 avril au 10 mai 2008
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

La conduite automobile : (suite & fin)

Les limitations de vitesses : uniquement devant les systèmes automatiques de contrôle. Dans ce cas, la règle consiste à rouler 30 km/h plus bas que la limite (le conducteur français retranche seulement 20 km/h à la limitation pour passer devant un radar). Cela permet donc de repérer de loin ces systèmes de contrôle de la vitesse car les feux de stop des voitures qui vous précèdent s'allument tous ! Pour information, il ne doit pas s'agir de technologie radar mais d'un système optique qui mesure la vitesse entre deux bornes. Et il y en a partout et à foison, même dans les petits villages ou sur les petites routes (là où le conducteur français de WW Golf immatriculée 75, se lâche car il sait qu'il ne risque pas de rencontrer de radar) !

Dernier point concernant la vitesse : il n'est pas rare de devoir doubler des voitures roulants à 60 km/h sur les autoroutes ou les SCG (les "Strada di Grande Comunicazione" comme la FI-LI-PI qui relie Florence - Livourne - Pise, ou encore la SI-FI ; en voyant les panneaux "SGC SI-FI", nous avons cru nous diriger vers le "StarGate Center" pour voyager en traversant un vortex, mais point de science-fiction à propos de la "SGC SI-FI", il s'agit de la double voie qui relie Florence à Sienne). Alors, prudence, car il faut aussi se méfier des grosses berlines de construction teutonne arrivant, elles, à toute vitesse ! Et en plus, sur la SI-FI, la chaussée est en assez mauvais état, comme sur le tronçon entre Florence et Pise pour la FI-LI-PI. Ailleurs, elle est plutôt en bonne état, comme l'ensemble des autoroutes que nous avons empruntées.

Bref, vous l'aurez compris, conduire en Italie fait monter un peu le taux d'adrénaline, mais il ne faut pas exagérer non plus : c'est moins stressant que de traverser la région parisienne. La conduite en Italie réclame quand-même une attention plus particulière qu'en Ecosse où tout se passe merveilleusement dans la courtoisie, qualité qui parfois souvent cruellement à l'automobiliste italien. Je n'ose même pas imaginer le comportement italien sur les petites routes à une voie du nord de l'Ecosse. Euh, si ! Nous l'avons malheureusement expérimenté : c'était Mr "Il Semaforo", à Montefioralle. Voir le récit du 3 mai.

Pour en finir avec la circulation automobile (et nous permettre d'enchaîner avec le chapitre suivant) : le stationnement dans Florence. C'est mission impossible ! On n'a guère le choix que de se garer au parking de la gare (s'il reste de la place) à un tarif assez exorbitant ou dans d'autres parkings payants moins onéreux, mais assez éloignés des points d'intérêt. Donc, évitez de prendre la voiture et prenez le train pour vous rendre à Florence (au fait, nous n'avons pas évoqué le cas de Venise, mais comme il est difficile d'avoir un véhicule amphibie, la voiture est aussi à proscrire pour se rendre à Venise).

Le train :

Ponctuel, non sur-bondé (même à la sortie des bureaux, le soir, nous avons trouvé une place assise facilement), relativement économique (de toute façon, très économique par rapport au parking souterrain de la gare de Florence) : bref, un vrai bonheur de laisser sa voiture et de prendre le train pour se rendre à Florence. On fait le trajet plus vite qu'en voiture et sans le stress, en profitant du paysage ! Et vu la fréquence des trains, ce n'est même pas la peine de se prendre la tête pour être à la gare à une heure précise pour ne pas rater le passage de celui-ci ! Et si on regarde de plus près, le réseau ferroviaire est très dense. On peut pratiquement se rendre partout en train (sauf au gîte que nous avions choisi en pleine campagne pour le calme, mais si nous avions choisi celui de Certaldo à 10 minutes à pied de la gare, nous aurions pu, presque, nous passer d'une location de voiture).

Revers de la médaille : nous avions souvent à traverser un passage à niveau aux environs d'Empoli et une fois sur deux, nous avons attendu très longtemps en voiture devant ce passage à niveau, que le train allant à Florence passe et que le train venant de Florence passe ensuite à son tour. Il semble que les barrières des passages à niveau soient fermées très longtemps avant le passage d'un train (vu le caractère imaginatif de certains conducteurs, ça peut se comprendre), ce qui fait que nous avons quand-même dû passer plus de 10 minutes par jour devant ce passage à niveau (souvent le matin, plus rarement le soir).

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