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SENEGAL du 24 mars au 7 avril 2006
Voyage du 24 mars au 7 avril 2006
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Hippopotames dans la Gambie à Mako

Samedi 1er avril :

Lorsque le réveil sonne, il fait encore nuit. Il faut dire que nous partons pour une randonnée qui nous mènera jusqu'au sommet de la falaise, nous allons donc éviter de marcher sous le soleil tapant. A 7 heures du matin, nous quittons à pied le gîte en direction de la falaise. Après une ascension rude par un sentier de randonnée bien balisé, nous arrivons sur le plateau d'où nous découvrons un vaste panorama encore tout embrumé. Nous arrivons ensuite sur un effondrement du plateau, sous lequel se sont formées des grottes (qui ont servi de refuges aux habitants de Guinée pendant des périodes relativement récentes et difficiles de l'histoire de leur pays). Les grottes servent aussi à récolter du salpêtre.

Puis direction le village pour le visiter : les gamins du village viennent comme d'habitude à notre rencontre et ce sera "à qui tient la main d'un toubab". Pour essayer de les contenter tous, nous nous retrouvons vite fait avec un gamin accroché à chaque doigt. Spontanément, ils nous chantent une chanson :

Connais tu mon beau village
Qui se mire au clair ruisseau
Encadre par le feuillage
On dirait un nid d'oiseau
...

Enfin quelque chose comme ça ! Pap nous l'a chanté ensuite mais nous ne nous souvenons plus des paroles (désolé). Après le village, direction la source de la cascade, passage de la frontière avec la Guinée, champ de termitières champignon et redescente au village en croisant des porteurs qui amènent sur leur tête, des sacs de marchandises au marché de Dindéfello en provenance de Guinée (moitié contrebande, moitié légal). Au gîte, nous achetons un "hippo rigolo", une sculpture en bois d'un hippopotame avec le nez hypertrophié. Nous avons craqué ! Nous discutons ensuite avec les guides (diplômés) du village : pour 700 euros (approximativement), ils nous proposent une semaine de randonnée autour du village avec un 4x4 pour porter les sacs : les tentes sont montées avant l'arrivée des marcheurs, une cuisinière prépare le repas, on marche à la fraîche et on fait la sieste pendant les heures chaudes. Ca nous semble bien et nous avons promis de mettre leurs coordonnées sur notre site :

Mamdou Seydou Diallo
Guide Accompagnateur
S/C de Ricard BP 50
Kédougou / Sénégal
Tel (portable) : (00221) 650-63-33

Ils nous disent que la meilleure période pour visiter la région est novembre car avril est la période la plus chaude. En novembre, c'est la fin de l'hivernage, c'est encore vert mais il ne pleut plus. Pour le midi, Seyni nous a préparé un délicieux mafé à la sauce à l'arachide (Christophe en aurait bien repris mais la chaleur lui coupe l'appétit). Avant de partir, nous croisons un autre camion de TPA qui fait le circuit. Ils ont eu la chance d'assister aux fêtes bassâri, avec les masques, la bière, et tout, et tout ! Ca sera pour une autre fois...

A 14h30, nous reprenons le camion pour rejoindre Kédougou où nous ferons réparer notre pneu chez le vulcanisateur : la rustine est découpée dans un morceau de chambre à air de récupération et elle est collée avec une presse chauffée à l'alcool à brûler (ça a chauffé pendant un certain temps et la réparation est nickel). Pour le pneu ? Une rustine est découpée dans un autre pneu et celle-ci est appliquée à l'intérieur du pneu avec de la colle, tout en matériau de récupération ! De toute façon, vue la vitesse de pointe du camion (de 70 km/h), nous ne risquons pas grand-chose. En Afrique, tout est recyclé, sauf les monstrueux sachets plastiques qui enlaidissent l'entrée des villes. Une vraie plaie, ces sachets plastiques !

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"La fête malinké (1 / 2)"
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