Jeudi 22 mars : (suite & fin)

Quand nous voulons reprendre le train pour rentrer : il n'y a plus de train ! En fait, la grande fumée noire est due à un incendie d'une usine chimique en bordure des voies ferrées. Comment, va-t-on faire ? Heureusement, toutes les compagnies de bus trouvent des chauffeurs parmi les étudiants pour leurs "micros" et de nouvelles lignes de bus apparaissent ! Dans chaque "micro", il y a un chauffeur et un "racoleur" qui hurle par la porte le trajet du "micro". Ce qui donne quelque chose comme "yyayoyayoya yalolamoyADO !" Oui ! Nous ne reconnaissons pas "Viña Del Mar" dans cette énumération "yoyolée". Nous finissons par demander : "Viña Del Mar ?" Et nous avons comme réponse : "si ! si !". Nous montons donc un micro presque au hasard. Nous arrivons quand même à bon port. Pour le repas du soir, nous retournons au restaurant de la veille pour un "lomo con papas frittas" et bien sûr, un "pisco sour" en apéro.

Vendredi 23 mars :

Bus jusqu'à Santiago et aéroport ! L'avion est à 19 heures alors que nous avions rejoint l'aéroport pour 11 heures du matin car nous avions lu quelque part qu'il fallait confirmer le vol retour avant cette heure là ! Nous rentrons par Lan Chile (mais l'A340 de Lan Chile est mieux, chaque siège a un écran perso dans le dossier du siège précédent).

Samedi 24 mars :

Vol retour puis longue attente à Madrid pour prendre la correspondance et enfin, renter chez nous.

Horcon : pélicans

Valparaiso

15 jours, c'est rapide pour un pays aussi grand (les Suisses que nous avons rencontrés étaient partis pour deux mois). Nous avons passé beaucoup de temps dans les transports en commun (confortables) et dans les terminaux de bus. Et nous ne sommes pas allés au "Salar de Uyuni".

Donc, ça nous pousse à revenir en Bolivie, en faisant attention à l'acclimatation. Les paysages sur l'altiplano sont irréels. Il nous reste aussi à revenir pour la réserve "Pinguino de Humboldt", pour les autres parcs nationaux Chilien et pour descendre au sud. Il reste encore tant de chose à faire dans ce pays si accueillant !

Quand lama pas content...